24 mai 2012
Eeva-Liisa Manner
À quel point la solitude peut se propager de moi,les buissons périssent,les arbres s’enfuient et les martres, les martres.La froidure de la nuit s’éloigne lentement toujours plus comme la frange d’un glacieret recouvre les petits corps.Les arbres au-dehors...